Festival Fil

H24 – 24 heures dans la vie d’une femme est une série télévisée engagée, produite et diffusée sur ARTE depuis 2021, qui propose un regard incisif et pluriel sur le quotidien des femmes à travers 24 courts-métrages d’environ quatre minutes, chacun écrit par une autrice et interprété par une actrice différente. Inspirée de faits réels, l’œuvre met en lumière les mécanismes de la violence ordinaire et souligne l’importance des résistances, individuelles comme collectives.

L’univers de la série se décline aussi dans un livre publié chez Actes Sud – ARTE Éditions, rassemblant les textes originaux des 24 récits. Ce recueil, manifeste féministe à part entière, prolonge l’expérience audiovisuelle en offrant au lecteur une autre perspective sur ces histoires souvent absentes des médias traditionnels.

Ces récits ont inspiré Black Lights, œuvre chorégraphique de Mathilde Monnier, qui présentera sa démarche par visioconférence avant la projection intégrale de la série. La rencontre se conclura par une discussion animée par Claudia Larochelle, éclairant les passerelles entre littérature, audiovisuel et création scénique dans ce projet aussi politique qu’artistique.

Deux rendez-vous pour découvrir l’univers de Marie-Hélène Voyer.

17 h —Rentrée automnale des éditions Poètes de brousse
Marie-Hélène Voyer participera à ce lancement collectif aux côtés d’Anick Arsenault, Annie Landreville et Steve Leroux pour leur recueil collectif Regards obliques, d’Azucena Pelland pour son premier recueil L’été en travers de la gorge, et de Claude Périard pour Les lumières ont tué la nuit.
Présentation de Poètes de brousse, en collaboration avec La Livrerie

19 h — Causerie autour de Précieux sang

On retrouve ensuite Marie-Hélène Voyer pour un échange autour de son recueil Précieux sang, où elle prête sa voix à cinq ouvrières oubliées par l’Histoire : allumettière, « femme explosive » des usines d’armement, gobeuse d’amiante, besogneuse d’abattoir et couturière d’atelier de misère. Sans misérabilisme ni glorification, elle déploie une poésie à la fois grinçante et lumineuse, nourrie de ruses, de rires et de révoltes. Le recueil se clôt par le court essai Voir avec des yeux de chair, dans lequel l’autrice explore la discipline paysanne des corps de son enfance et la rémanence des vies et des images qui hantent son écriture.

H24 – 24 heures dans la vie d’une femme est une série télévisée engagée, produite et diffusée sur ARTE depuis 2021, qui propose un regard incisif et pluriel sur le quotidien des femmes à travers 24 courts-métrages d’environ quatre minutes, chacun écrit par une autrice et interprété par une actrice différente. Inspirée de faits réels, l’œuvre met en lumière les mécanismes de la violence ordinaire et souligne l’importance des résistances, individuelles comme collectives.

L’univers de la série se décline aussi dans un livre publié chez Actes Sud – ARTE Éditions, rassemblant les textes originaux des 24 récits. Ce recueil, manifeste féministe à part entière, prolonge l’expérience audiovisuelle en offrant au lecteur une autre perspective sur ces histoires souvent absentes des médias traditionnels.

Ces récits ont inspiré Black Lights, œuvre chorégraphique de Mathilde Monnier, qui présentera sa démarche par visioconférence avant la projection intégrale de la série. La rencontre se conclura par une discussion animée par Claudia Larochelle, éclairant les passerelles entre littérature, audiovisuel et création scénique dans ce projet aussi politique qu’artistique.

H24 – 24 heures dans la vie d’une femme est une série télévisée engagée, produite et diffusée sur ARTE depuis 2021, qui propose un regard incisif et pluriel sur le quotidien des femmes à travers 24 courts-métrages d’environ quatre minutes, chacun écrit par une autrice et interprété par une actrice différente. Inspirée de faits réels, l’œuvre met en lumière les mécanismes de la violence ordinaire et souligne l’importance des résistances, individuelles comme collectives.

L’univers de la série se décline aussi dans un livre publié chez Actes Sud – ARTE Éditions, rassemblant les textes originaux des 24 récits. Ce recueil, manifeste féministe à part entière, prolonge l’expérience audiovisuelle en offrant au lecteur une autre perspective sur ces histoires souvent absentes des médias traditionnels.

Ces récits ont inspiré Black Lights, œuvre chorégraphique de Mathilde Monnier, qui présentera sa démarche par visioconférence avant la projection intégrale de la série. La rencontre se conclura par une discussion animée par Claudia Larochelle, éclairant les passerelles entre littérature, audiovisuel et création scénique dans ce projet aussi politique qu’artistique.

H24 – 24 heures dans la vie d’une femme est une série télévisée engagée, produite et diffusée sur ARTE depuis 2021, qui propose un regard incisif et pluriel sur le quotidien des femmes à travers 24 courts-métrages d’environ quatre minutes, chacun écrit par une autrice et interprété par une actrice différente. Inspirée de faits réels, l’œuvre met en lumière les mécanismes de la violence ordinaire et souligne l’importance des résistances, individuelles comme collectives.

L’univers de la série se décline aussi dans un livre publié chez Actes Sud – ARTE Éditions, rassemblant les textes originaux des 24 récits. Ce recueil, manifeste féministe à part entière, prolonge l’expérience audiovisuelle en offrant au lecteur une autre perspective sur ces histoires souvent absentes des médias traditionnels.

Ces récits ont inspiré Black Lights, œuvre chorégraphique de Mathilde Monnier, qui présentera sa démarche par visioconférence avant la projection intégrale de la série. La rencontre se conclura par une discussion animée par Claudia Larochelle, éclairant les passerelles entre littérature, audiovisuel et création scénique dans ce projet aussi politique qu’artistique.

Du fleuve au fil et du phare aux filles, Véronique Bachand nous entraîne dans ses traversées, de l’intime à la scène, de l’écriture à l’oralité. Dévirée navigue entre recueil de poèmes, récit de pratiques et essai sur la performance, retraçant douze années de parcours artistique et les premières fois d’une conteuse queer. À l’occasion du lancement de don tout nouveau livre, l’autrice offrira une prestation en compagnie du contrebassiste Hugo Blouin, autour de cette histoire d’échouages et de jongleries, de phares et de gaietés.

Présentation de Planète Rebelle

H24 – 24 heures dans la vie d’une femme est une série télévisée engagée, produite et diffusée sur ARTE depuis 2021, qui propose un regard incisif et pluriel sur le quotidien des femmes à travers 24 courts-métrages d’environ quatre minutes, chacun écrit par une autrice et interprété par une actrice différente. Inspirée de faits réels, l’œuvre met en lumière les mécanismes de la violence ordinaire et souligne l’importance des résistances, individuelles comme collectives.

L’univers de la série se décline aussi dans un livre publié chez Actes Sud – ARTE Éditions, rassemblant les textes originaux des 24 récits. Ce recueil, manifeste féministe à part entière, prolonge l’expérience audiovisuelle en offrant au lecteur une autre perspective sur ces histoires souvent absentes des médias traditionnels.

Ces récits ont inspiré Black Lights, œuvre chorégraphique de Mathilde Monnier, qui présentera sa démarche par visioconférence avant la projection intégrale de la série. La rencontre se conclura par une discussion animée par Claudia Larochelle, éclairant les passerelles entre littérature, audiovisuel et création scénique dans ce projet aussi politique qu’artistique.

Et si la dramaturgie en danse devenait l’art de tisser corps, sons, lumières et mots ?
Incorporer, premier ouvrage francophone consacré à cette pratique, réunit une trentaine d’artistes et de chercheur·es qui en font un moteur et un catalyseur de création. Entre essais, entretiens et notes de travail, il ouvre un espace de réflexion et de transmission unique. Pour marquer le lancement de cet ouvrage, une table ronde réunira Guy Cools, Yohayna Hernàndez et Marie Brassard, qui partageront leurs visions et expériences d’une dramaturgie vivante, transdisciplinaire et sans frontières.

« On pourrait se demander ce qui se passe à l’intérieur – dans l’invisible – quand une extrême sensualité le parcourt, ce corps. »
Denise Desautels

Œuvre scénique hybride mêlant danse et lecture, Tenir parole est portée par la collaboration intime entre l’artiste polyvalent et photographe Angelo Barsetti et la danseuse et chorégraphe Louise Bédard. Né d’une relation artistique de plus de trois décennies, ce projet célèbre la poésie du mouvement et des mots.

Seule en scène, Louise évolue dans un espace épuré, habitée par une mosaïque de textes écrits par cinq autrices – Denise Desautels, Véronique Côté, Rachel Graton, Louise Bombardier et Evelyne de la Chenelière – inspirées par son univers. Chaque texte devient ici une lettre, un fragment de mémoire qui nourrit sa danse et transforme l’espace. La voix d’Angelo guide et dialogue avec son corps en mouvement, construisant un duo sensible entre les paroles, les gestes et ses ponctuations.

Véritable portrait mouvant où l’intime rencontre l’universel, Tenir parole est aussi un hommage à une grande artiste qui célèbre cette année les 35 ans de sa compagnie, Louise Bédard Danse.

« La détresse d’un peuple qui a oublié ses mythes et imagine qu’il n’y a que maintenant est faite d’inquiétude et d’isolement. Nous sommes parfaits de nos imperfections… Nous avons tous besoin d’aimer, d’être aimés et de ne pas lâcher. »
Kae Tempest, Les nouveaux anciens

Entre rap, poésie et théâtre, Les nouveaux anciens est une fable urbaine contemporaine puissante, qui puise dans la tradition de la ballade antique pour dire les angoisses du présent. Dans un monde désenchanté, six figures ordinaires – Kevin, Jane, Mary, Brian, Thomas et Clive – deviennent les nouveaux dieux d’aujourd’hui, porteurs d’espoirs, de fragilité, de courage et de contradictions.

Kae Tempest, artiste britannique incontournable dont l’œuvre se situe à la croisée du spoken word, du hip-hop et du théâtre, fait vibrer ici les anciens mythes dans un langage d’une intensité brute. Chaque mot frappe, chaque image réveille, révélant la beauté et la vulnérabilité de l’humain.

C’est ce texte poétique et incandescent qu’Alice Ronfard a choisi de porter à la scène, misant sur l’alliance du texte, de la musique et du corps pour traduire les vertiges d’une époque en quête de sens et d’identité – une époque où l’anxiété mine nos existences. Le temps d’une soirée, Nathalie Claude, Jules Ronfard et Julie McInnes vont nous offrir une expérience immersive et percutante, mêlant la puissance des mots à l’énergie du live, qui résonne avec nos luttes contemporaines. «Ensemble, nous dit Alice, il nous faut puiser dans les larmes des poètes l’énergie nécessaire pour continuer à regarder le monde en face.»

« On pourrait se demander ce qui se passe à l’intérieur – dans l’invisible – quand une extrême sensualité le parcourt, ce corps. »
Denise Desautels

Œuvre scénique hybride mêlant danse et lecture, Tenir parole est portée par la collaboration intime entre l’artiste polyvalent et photographe Angelo Barsetti et la danseuse et chorégraphe Louise Bédard. Né d’une relation artistique de plus de trois décennies, ce projet célèbre la poésie du mouvement et des mots.

Seule en scène, Louise évolue dans un espace épuré, habitée par une mosaïque de textes écrits par cinq autrices – Denise Desautels, Véronique Côté, Rachel Graton, Louise Bombardier et Evelyne de la Chenelière – inspirées par son univers. Chaque texte devient ici une lettre, un fragment de mémoire qui nourrit sa danse et transforme l’espace. La voix d’Angelo guide et dialogue avec son corps en mouvement, construisant un duo sensible entre les paroles, les gestes et ses ponctuations.

Véritable portrait mouvant où l’intime rencontre l’universel, Tenir parole est aussi un hommage à une grande artiste qui célèbre cette année les 35 ans de sa compagnie, Louise Bédard Danse.

Tisser des liens, célébrer la diversité, offrir une voix à celleux qui découvrent une nouvelle langue et un nouvel horizon : tel est l’esprit qui anime ce projet du Festival international de la littérature (FIL) et de l’organisme Ma Parole!.

Pour la deuxième année consécutive, le FIL s’associe à Ma Parole! afin d’aller à la rencontre des nouveaux et nouvelles arrivant·es dans des centres de francisation. Cette fois, la lecture-spectacle sera consacrée à l’œuvre de Kim Thúy, qui, tout comme Caroline Dawson l’an dernier, explore dans ses livres les défis de l’adaptation et la quête d’une nouvelle identité.

« J’ai aussi compris plus tard que ma mère avait certainement des rêves pour moi, mais qu’elle m’a surtout donné des outils pour me permettre de recommencer à m’enraciner, à rêver », écrit-elle dans Ru, roman autobiographique traduit en 28 langues et vendu à plus de 540 000 exemplaires.

Tout au long du FIL, Ines Talbi, Christian M. Rangel Anguirre et la musicienne Laurie Torres feront résonner ses mots auprès d’apprenants et apprenantes. Après chaque représentation, les participant·es seront invité·es à écrire un texte inspiré du spectacle, qui sera lu en public par les artistes lors d’un apéro festif à la librairie La Livrerie.

« On pourrait se demander ce qui se passe à l’intérieur – dans l’invisible – quand une extrême sensualité le parcourt, ce corps. »
Denise Desautels

Œuvre scénique hybride mêlant danse et lecture, Tenir parole est portée par la collaboration intime entre l’artiste polyvalent et photographe Angelo Barsetti et la danseuse et chorégraphe Louise Bédard. Né d’une relation artistique de plus de trois décennies, ce projet célèbre la poésie du mouvement et des mots.

Seule en scène, Louise évolue dans un espace épuré, habitée par une mosaïque de textes écrits par cinq autrices – Denise Desautels, Véronique Côté, Rachel Graton, Louise Bombardier et Evelyne de la Chenelière – inspirées par son univers. Chaque texte devient ici une lettre, un fragment de mémoire qui nourrit sa danse et transforme l’espace. La voix d’Angelo guide et dialogue avec son corps en mouvement, construisant un duo sensible entre les paroles, les gestes et ses ponctuations.

Véritable portrait mouvant où l’intime rencontre l’universel, Tenir parole est aussi un hommage à une grande artiste qui célèbre cette année les 35 ans de sa compagnie, Louise Bédard Danse.