L’ÉROTISME DE VIVRE
95 ans et toute une vie avant
Catherine Ringer  + Alice Mendelson

Mercredi 20 septembre – 19 h
Jeudi 21 septembre – 19 h

Sièges réservés
72 $ / 62 $ / 50 $ – taxes et frais inclus

Formule VIP à 250 $ disponible le mercredi 20 septembre

meilleure place + cadeau + reçu d’impôt du Festival international de la littérature (FIL)

© Mathias Walter
Grégoire Hetzel, Mauro Gioia, Catherine Ringer et Alice Mendelson ©Mathias Walter
Alice Mendelson ©Mathias Walter

Ne jamais bâcler de vivre
– Alice Mendelson

C’est à Catherine Ringer que revient l’idée de ce spectacle. Elle a eu envie de faire entendre les poèmes sensuels d’Alice Mendelson, une amie de son père aujourd’hui âgée de 97 ans. « Ce qu’elle écrit, c’est avant tout sa liberté de femme, ses plaisirs, ses désirs, ses fantasmes. Je trouve cela magnifique » avoue l’iconique chanteuse des Rita Mitsouko, cet inoubliable duo qu’elle formait avec Fred Chinchin.

Les poèmes d’Alice Mendelson, Catherine Ringer a voulu les dire et les chanter. Sur scène, elle est accompagnée au piano par la musique de Grégoire Hetzel, sur une mise en scène de Mauro Gioia. En entrevue, elle déclarait récemment : « Si on ne vieillit pas c’est qu’on est mort… L’avancée de la vie est intéressante quand on reste éveillé et qu’on n’est pas complètement rabougri de l’intérieur, ce qui peut arriver très jeune finalement. » Ce à quoi semble lui répondre la poète avec ce vers écrit en 2018 : « Pour bien vieillir, il est bon d’avoir le vice et la joie ».

Née en 1925 de parents révolutionnaires juifs polonais, Alice Mendelson a échappé miraculeusement avec sa mère à la Rafle du Vel’d’hiv le 16 juillet 1942 tandis que son père était déporté à Auschwitz. En 1944, la jeune femme est entrée dans la Résistance. La guerre terminée, elle est devenue professeure de français d’abord en Algérie puis à Paris. Toute sa vie de femme engagée et libre, elle n’aura cessé d’écrire des poèmes, sans jamais oser les publier. Des textes témoignant d’une vie marquée par la passion de l’amour et des mots. C’est en 2022 qu’une sélection de ses poèmes sont finalement édités aux éditions Rhubarbe sous la forme d’un recueil au titre éclatant, L’Érotisme de vivre.

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ÉCHOS DES MÉDIAS
« Catherine Ringer brûle littéralement les planches. En communion avec le public, elle invite à plonger dans l’intimité d’une femme libre, à ressentir au creux des reins picotements agréables et chaleur diffuse. Unique, incroyable, la chanteuse poétise la vie, érotise les mots. Elle est tout simplement éblouissante ! »
– L’Œil d’Olivier

« N’allez pas croire qu’il s’agisse ici sous la plume de cette vieille dame magnifique indigne d’un charmant émoi sentimental ou de doucereuses confidences à voix basse. L’Eros chez elle n’est pas une figure de style mais le principe actif d’une existence « à fleur de peau / à fond de chair / à désirs déployés ». Sa poésie est traversée d’une énergie propre à remettre debout le plus fatigué des lecteurs. »
– Jean-Pierre Siméon, préfacier de L’érotisme de vivre d’Alice Mendelson.

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Poèmes Alice Mendelson
Lecture et chant Catherine Ringer, accompagnée au piano par Grégoire Hetzel
Musique Grégoire Hetzel

Chansons Alice Mendelson / Mauro Gioia – Grégoire Hetzel
Mise en scène Mauro Gioia

Une production Sixsarl (France)
En coproduction Théâtre d’Auxerre – scène conventionnée Art et Création, en accord avec Odala Compagnie.

Présentation Festival international de la littérature (FIL), en accord avec les Visiteurs du soir et en collaboration avec le Grand Théâtre de Québec

En codiffusion avec le Théâtre Outremont

Durée : 1h10 (sans entracte)

L’ÉROTISME DE VIVRE AUSSI À QUÉBEC !

Samedi 16 septembre
GRAND THÉÂTRE DE QUÉBEC

GTQ-Telus-H-Noir

ÉCHOS DES MÉDIAS

« Catherine Ringer brûle littéralement les planches. En communion avec le public, elle invite à plonger dans l’intimité d’une femme libre, à ressentir au creux des reins picotements agréables et chaleur diffuse. Unique, incroyable, la chanteuse poétise la vie, érotise les mots. Elle est tout simplement éblouissante ! »
– L’Œil d’Olivier

« N’allez pas croire qu’il s’agisse ici sous la plume de cette vieille dame magnifique indigne d’un charmant émoi sentimental ou de doucereuses confidences à voix basse. L’Eros chez elle n’est pas une figure de style mais le principe actif d’une existence « à fleur de peau / à fond de chair / à désirs déployés ». Sa poésie est traversée d’une énergie propre à remettre debout le plus fatigué des lecteurs. »
– Jean-Pierre Siméon, préfacier de L’érotisme de vivre d’Alice Mendelson