CHRONIQUE D’UN CŒUR VINTAGE
Lundi 25 septembre – 19 h
Salle Claude-Léveillée
Admission générale
25 $ (prix unique) – taxes et frais inclus
Achat en personne et par téléphone à la Place des Arts
et en ligne sur placedesarts.com
Savez-vous ce qu’est un « cœur vintage » ? Il s’agit d’un organe qui a du mal à trouver appartenance à son époque et qui, donc, traverse quelques difficultés sentimentales… Émilie Bibeau, comédienne chouchou des Québécois, capable de jouer le drame comme l’humour, que ce soit au théâtre dans Hamlet de Shakespeare ou dans Albertine en cinq temps de Tremblay, voire plus récemment à la télé en incarnant la Lucie Lamontagne de la populaire série Unité 9, prétend être dotée de ce type de cœur. Ça lui a même inspiré une série de chroniques présentées depuis 2016 à l’émission littéraire « Plus on est de fous, plus on lit », diffusée sur ICI Radio-Canada Première et à laquelle elle collabore depuis six ans.
À chacune de ses diffusions, cette « chronique d’un cœur vintage » est aussi unique qu’attachante, révélant à travers des textes de son cru une Émilie se confiant sans pudeur, accompagnée pour le réconfort et l’espérance des mots de d’autres. Véritables perles dans la programmation radiophonique actuelle et livrés avec brio par sa pétillante créatrice, ces moments suscitent rires et tendresse au sein d’un public charmé.
Sur scène, dans un spectacle solo d’un peu plus d’une heure, ce petit « cœur vintage » battra de nouveau au rythme des plus mémorables chroniques lues à l’émission, mais aussi d’inédites, dignes représentantes d’une époque en proie aux redéfinitions des modèles amoureux.
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Auteure et interprète Émilie Bibeau
Conseiller dramaturgique Alain Farah
Oeil extérieur Sophie Cadieux
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Émilie Bibeau tient à remercier Marie-Louise Arsenault et toute l’équipe de « Plus on est de fous, plus on lit », Fanny Britt, Olivier Morin, Anne-Marie Cadieux, Marie-France Lambert, René-Richard Cyr, Nicolas Lévesque, Robert Lalonde et tous ses tendres et précieux amis et parents pour leur support constant.
© Maude Chauvin
Émilie Bibeau
« La science est grossière, la vie est subtile, et c’est pour corriger cette distance que la littérature nous importe. »
– Roland Barthes